Les voitures automatiques font peu à peu oublier les pédales d’embrayage et leviers de vitesses. Avec Citroën, la gamme automatique comprend de belles voitures. Que vous soyez à la recherche d’un suv, d’une citadine, d’un monospace ou d’une berline, vous serez à votre aise avec une Citroën automatique. Ces véhicules présentent de nombreux avantages. Outre la sécurité et le confort, ces voitures permettent de rouler sereinement en s’adaptant à tous les trajets.
Les Citroën automatiques qui améliorent nos trajets
La gamme automatique de Citroën a su s’imposer grâce aux modèles aboutis mis sur le marché par le constructeur. Parmi les modèles à succès, il y a la Citroën C3 et C4.
La C3 est une automatique agile mesurant 4 mètres de long. Equipé d’un moteur essence et d’une boite de vitesse EAT6, ce véhicule réactif convient à la conduite urbaine. L’intérieur comprend des espaces de rangement ingénieux et d’autres équipements confortables qui font de la C3 une automatique incontournable. La voiture dispose de feux LED, des Airbump et de nombreux autres accessoires permettant de la personnaliser. Découvrez cette merveilleuse voiture avec une boite automatique à travers cette vidéo.
Le modèle C4 Cactus quant à lui est une version automatique avec deux modes de fonctionnement : le mode neige (idéal pour rouler en sécurité malgré une faible adhérence) et le mode sport (pour une conduite dynamique).
La boîte automatique EAT6
La boite de vitesse EAT6 est présente sur des modèles comme la Citroën C3, C4 ou C5. Cette boite de vitesse de dernière génération dont est équipée les voitures automatiques de Citroën permet une meilleure conduite. Il s’agit d’une boîte économe et écologique. La technologie développée par AISIN AW permet de réduire la consommation de carburant et de limiter les émissions de CO2. Côté performance, la boite de vitesse EAT6 a un meilleur rendement et ses 6 rapports permettent de diminuer les phases de glissement. En bonus, le système stop&start et l’optimisation du contrôle de la traînée améliorent le confort du conducteur.
Citroën dévoile sa nouvelle édition de la C4 cactus 2018. La marque aux chevrons s’est payé un total new style pour sa prochaine et unique génération dans le segment compact. Extérieur, intérieur, équipement et motorisation, on vous livre tout !
Un physique revisité
Imitant l’allure d’une Berline compacte, la future Citroën de 4,17 mètres de longueur et de 1,71 mètre de largeur sera la plus petite compacte commercialisée sur le marché. Son empattement quant à lui, reste dans la moyenne avec ses 2,60 mètres. La gamme restylise ses Airbumps, cette fois à taille réduite et installés en bas de porte. Ces petits gadgets qui font sa personnalité sont maintenant plus esthétiques que pratiques. La C4 abandonne les feux arrière carrés et la coffre en plastique de la version précédente. Elle s’équipe désormais de feux diurnes à LED avec de nouveaux projecteurs inférieurs. Au dos du véhicule, on constate les optiques 3D et un volet de coffre en tôle qui lui donne l’air plus imposant.
Le multi-confort à bord
Si l’habitacle garde sa coupe, le reste de l’intérieur a été repensé pour constituer un véritable cocon pour les passagers. Citroën a emprunté le concept des Butées Hydrauliques Progressives du SUV C5 Aircross pour optimiser le plaisir de voyager à l’intérieur de ses véhicules. Ces derniers portent une nouvelle console centrale située entre les places avant et s’offrent un espace de rangement en-dessous de l’accoudoir central. A l’avant, les contreportes sont plus élargies mais la boîte à gants fournit peu de place. L’innovation : la mousse très dense et moelleuse des assises avant pour procurer plus de commodité lors des longs déplacements. A l’arrière, bacs, évidements de portes et aumônières (pour les finitions supérieures) viennent renforcer l’habitabilité des véhicules. Le point négatif c’est la modicité des ouvertures qui donnent la sensation d’être à l’étroit, en particulier, les fenêtres arrière et leurs ouvertures à compas. Autre ombre au tableau : l’absence de surface plane lorsque les sièges sont rabattus. Enfin, au niveau du coffre, rien de surprenant avec son volume de 358 litres.
Un matériel classique et simple à manipuler
Côté technologie, la C4 cactus garde son bloc d’instrumentation avec écran tactile 4 pouces facile d’accès. En revanche, elle fait plus d’effort en termes de connectivité avec le système Mirror screen comprenant les fonctions : Android Auto, MirrorLink et AppleCarPlay qui renvoie sur l’écran central certaines applis des Smartphones. Associée à l’écran tactile, l’interface inclut la reconnaissance vocale pour activer les fonctions appel et connexion internet. Le GPS Connect Nav est assorti d’un affichage 3D et de services connectés pour suivre l’info trafic, les tarifs des carburants et l’emplacement des parkings. La Citroën 2018 se dote aussi de la Citroën Connect Box avec un Pack SOS assistance pour demander de l’aide en cas d’urgence. Pour terminer, elle ajoute de nouveaux dispositifs d’aides à la conduite : Coffee Break Alert (pour respecter les temps de pause), freinage d’urgence automatique, alerte attention conducteur, reconnaissance des panneaux de signalisation, régulateur de vitesse, alerte de changement de voie et surveillance des angles morts ; sans oublier l’accès et le démarrage mains-libres qui viennent récemment d’entrer dans la foulée.
Des moteurs plus performants
Les moteurs à essence de Citroën seront capables de déployer une puissance de 130 ch (pour les BVM6). Quant aux diesels, le 1.5 BlueHDi 120 avec transmission automatique fera son apparition. Pour finir, après considération des critiques sur les bruits d’air et de roulements en cours de trajet, Citroën a augmenté l’isolation acoustique de ses modèles C4 cactus 2018.
La DS5 de Citroën est une berline de luxe qui se décline en trois versions : la version essence, la version diesel et la version hybride diesel-électrique. La version hybride diesel-électrique possède la particularité d’avoir été choisie par le président de la république François Hollande en 2012 comme voiture présidentielle. Petite présentation du petit bijou de la marque aux étrons.
Caractéristiques techniques
La DS5 Hybrid4 de Citroën est dotée de la technologie Hybrid4. C’est une technologie mise au point par les ingénieurs du groupe PSA et qui permet l’hybridation diesel-électrique. Le moteur électrique sert de générateur en récupérant l’énergie dégagée en décélérant et en freinant pour recharger les batteries. Déjà qu’un diesel consomme moins qu’une voiture à essence, effectuer une hybridation diesel-électrique est tout bonnement une idée de génie qui permet une réduction de la consommation de carburant plus efficiente.
La DS5 Hybrid4 possède un moteur thermique 2.0 HDi 163 chevaux couplé à un moteur électrique de 37 chevaux. Cela permet à la voiture de posséder une puissance de 200 chevaux. Toutefois, seul le moteur thermique (avec ses 163 chevaux) permet à la voiture d’atteindre une vitesse maximale de 211km/h. Le mode tout électrique permet à la voiture de rouler sur une distance de 4 km à une vitesse limitée à 60 km/h.
La DS5 possède 4 roues motrices permettant une transmission intégrale non permanente. Quatre modes de fonctionnement sont disponibles sur la Citroën DS5 Hybrid4 : le mode Automatique, le mode Sport, le mode ZEV et le mode 4WD. Le système fonctionne de telle sorte que soit la voiture alterne automatiquement entre le moteur thermique et le moteur électrique, soit elle fait appel aux deux moteurs simultanément.
Au niveau de la boite de vitesse, Citroën ne fait pas dans le sensationnel et se contente de la désormais célèbre boite robotisée de PSA : la EAT6. Selon les options proposées, la Citroën DS5 Hybrid4 est déclinée en trois versions : la version So Chic, la version Sport Chic et l’Executive. La DS5 émet 102 g/km. Par contre la version Executive n’émet que 88g/km.
Design extérieur
Les stylistes de Citroën ont essayé de proposer une voiture plus raffinée et élégante que ses précédentes, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ont réussi leur pari. Le style de la voiture est véritablement révolutionnaire avec une carrosserie qui intègre une lame de chrome allant du haut des portières aux phares. Les feux arrière en forme de boomerang et les pots d’échappements quadrilatéraux sportifs sont vraiment attrayant.
Design intérieur
Le plus surprenant lorsque vous prenez place à bord de la DS5 est sa performance. Le véhicule propose une ambiance spéciale, à mi-chemin entre les styles technos et cosy. Côté équipement, les ingénieurs de la DS5 n’y sont pas allés de main morte en proposant Bluetooth, branchement USB et autres équipements innovants. Notons également la présence d’une molette sur le tableau de bord qui permet d’alterner entre 4 modes de conduite.
Points forts
- Design extérieur
- Équipement
- Système d’hybridation
- Confort
- Très bonnes performances
Points faibles
- Petit coffre (volume du coffre compris entre 345 et 1.145 L)
- Performances du moteur électrique trop limitées
- Bruit du moteur diesel.
Les pouvoirs publics commencent de plus en plus par œuvrer de concert pour le développement des véhicules moins polluants. Par exemple les gouvernements français et britanniques ont pris la décision d’interdire d’ici 2040 la vente de voitures essence et diesel. Plus récemment c’est la ville de Paris qui a pris la décision d’interdire d’ici 2030 la circulation de véhicule à essence sur les routes de la ville lumière. Même la Chine (1er marché automobile de la planète) envisage de suivre le mouvement. Pour éviter de se retrouver dans une situation fâcheuse, les grands constructeurs automobiles ont donc décidé de s’atteler au développement de véhicules propres. Ainsi, dès les années 2000, le groupe PSA et Mitsubishi ont décidé de coopérer afin de mettre sur le marché un véhicule à propulsion entièrement électrique : la Citroën c-zéro.
Citroën c-zéro extérieur
La Citroën C-ZERO n’est rien d’autre que le second volet de la coopération entre PSA et le constructeur japonais Mitsubishi. Elle reprend donc certains codes de la Peugeot iOn et de la Mitsubishi iMiEV. On retrouve donc le même design astucieux que sur la Peugeot iOn : c’est-à-dire un véhicule compact avec des lignes fluides et arrondies, une forme arrondie et une large surface vitrée. Elle est déclinée en 5 couleurs : blanc, bleu, gris, rouge et l’incontournable couleur noire. Il y en a pour tous les goûts.
Citroën c-zéro intérieur
Les designers de Citroën n’y sont pas allés de main morte en équipant l’intérieur du véhicule de manière à vous offrir le plus grand confort possible. Citroën a également appliqué une formule célèbre au niveau des petites citadines : « moins de place, plus d’espace ». Derrière cette maxime plutôt contradictoire se cache un concept développé par la marque aux étrons et qui consiste à vous offrir juste ce qu’il y a de plus utile pour vous permettre de vous sentir à l’aise. La Citroën C-ZERO est en outre équipée de six airbags et d’un boitier autonome pour contrôler les appels d’urgence. Les indispensables systèmes de chauffage et de climatisation se retrouvent également à bord de la voiture.
Performances
Il faut savoir que la Citroën c-zéro électrique constitue une petite révolution au niveau de Citroën. En effet depuis la célèbre Citroën traction avant (commercialisées dans les années 30) la C-ZERO est la première voiture de la marque aux chevrons à posséder une transmission aux roues arrière. Sur le volet vitesse et puissance, la C-ZERO dispose d’un moteur d’une puissance de 67ch (47 kW) et d’un couple maximal de 180 Newton-mètre pour une masse à vide de 1120 kilogrammes. Ainsi elle peut atteindre une vitesse maximale de 130 km/heure. Niveau accélération, la Citroën C-ZERO est plutôt timide passant de 0 à 100 km/heure en 15 secondes. Le véhicule est alimenté par des batteries de dernière génération.
Points forts
- Ecologique
La Citroën C-ZERO a besoin de 0 litre de carburant pour avancer. Cela illustre fortement le coté écolo de cette voiture.
- Economique
Avec un moteur 100% électrique, acheter une C-ZERO vous permettra d’économiser totalement vos dépenses en carburant.
- Silencieuse
La C-ZERO a été commercialisée avec ce slogan devenu célèbre : « zéro litre de carburant, zéro émission de CO2, zéro bruit »
- Rayon de braquage très petit
Points faibles
- Ecologique à l’usage mais pas à la fabrication
En effet des études ont prouvé que si à l’usage, la C-ZERO est écologique, à la fabrication, elle pollue plus que les voitures classiques. Cela s’explique notamment par le fait que l’assemblage des batteries lithium-ion a un impact néfaste sur l’environnement.
- La qualité du pare choc arrière est plutôt médiocre.
- Comme la plupart des véhicules électriques, la nouvelle Citroën C-ZERO souffre du manque de puissance de son moteur.
Présenté le 28 février dernier, le premier SUV de DS, alliant innovation et savoir-faire français, entamera sa carrière mondiale en début d’année 2018.
DS7 CROSSBACK : un style inspiré !
Moderne avec un raffinement inégalé, l’intérieur de ce SUV est vraiment spectaculaire. Mettant en évidence le savoir-faire français, il traduit la haute qualité artisanale de la marque. Chaque détail a été mûrement réfléchi. Deux écrans 12’’ haute définition ont été intégrés pour une interface innovante. Le premier permet un meilleur accès de la connectivité, entre autres multimédia, DS Connect, Mirror Screen.
Le second, par contre, est entièrement personnalisable. Il réunit toutes les informations que le conducteur souhaite avoir directement sur son champ de vision. À l’intérieur de cette voiture hors du commun, cinq univers, cinq inspirations différentes sont proposés pour marquer la différence du propriétaire. Faubourg, Rivoli, Bastille, Inspiration Performance Line et Opéra, chacun de ces styles saura séduire les plus exigeants. Ces inspirations reflètent, à chacune sa manière, le tempérament et la personnalité de chaque personne.
Aussi, à bord de cette incroyable voiture, on remarque d’emblée le soin que le fabricant a apporté aux matériaux : bois véritable, Alcantara, nappa, cuirs grainés… L’originalité de cette automobile s’affirme également à travers sa planche de bord atypique. Cette dernière est surplombée par une jolie montre animée : la B.R.M R180. Au démarrage du SUV, la montre sort de son écrin en pivotant sur elle-même.
Innovations et technologies
Véritable bijou technologique, DS7 CROSSBACK prend considérablement une avance sur ses concurrents. Conjuguant ingénieusement innovation et technologie, ce nouveau modèle a permis à la marque de reprendre de solides couleurs. Le nouveau président de la République française, Emmanuel Macron a d’ailleurs choisi cette voiture révolutionnaire pour son investiture. Tout un symbole !
Le premier d’une nouvelle génération, le vaisseau amiral de la marque DS ouvre la voie à la conduite autonome. Le DS Connected Pilot assiste le conducteur dans les embouteillages, mais aussi sur une autoroute jusqu’à 180 km/h. Ce n’est pas tout, car ici, la technologie règne en maître. Le DS Park Pilot permet un stationnement automatique. Le DS Driver Attention Assist alerte les moindres signes de fatigue et d’inattention.
Le DS Night Vision permet une visibilité accrue jusqu’à 100 mètres lors d’une conduite nocturne. Cette voiture profite aussi d’une innovation sur le système de suspension : DS Active Scan Suspension. Par le biais d’une caméra, ce système actif détecte et anticipe les irrégularités de la route.
Les plus du modèle
Distingué et technologique, ce modèle incarne l’élégance absolue de l’automobile. Conciliant gestes artisanaux, belles matières et technologie novatrice, le vaisseau amiral de DS justifie bien la notoriété grandissante de la marque. Le contraste de ses lignes est aussi fascinant que surprenant. La face avant se caractérise par la vaste calandre aux « Wings », reflétant la noblesse et le charisme de la voiture. La forme hexagonale de la calandre entoure un magnifique motif de grille à effet diamant, au centre duquel, on trouve l’emblème DS.
Les moins du modèle
Affichant une personnalité singulière, cette voiture peut sembler trop bling-bling pour certains. Avec son imposante calandre, ses chromes éclatants, ses formes complexes et ses feux diurnes verticaux, son museau peut en effet paraître un peu chargé. Mais le plus grand inconvénient de ce SUV, c’est qu’il ne dispose pas de transmission intégrale. Il bénéficie tout simplement d’un dispositif de motricité renforcé « Grip Control ». Mais en 2019, ce modèle se déclinera en une version hybride, rechargeable de 300 ch.
La Citroën C3 a su se faire une place en seulement 3 générations. Depuis 2002, cette petite citadine est aujourd’hui un acteur majeur dans le monde de l’automobile du quotidien.
Une histoire récente
Comme toujours la marque française a sorti de ses ateliers un modèle à la fois sobre et bien pensé. La C3 s’inspire directement de la Saxo qui a fait les beaux jours de la marque aux chevrons entre 1995 et 2003. Avant l’arrêt de sa production, la marque sort une petite C3 pour la remplacer. Mais ses finitions standards ne séduisent pas. Les designers vont alors la moderniser pour offrir une allure plus jeune faite pour séduire les jeunes – et les moins jeunes – citadins.
Le constructeur français poursuit l’évolution de la C3 II et sort en 2009 la version luxe avec la DS3, une voiture audacieuse et branchée. Cette version premium de la C3 sera un véritable succès tant national qu’international.
Enfin en 2016, Citroën renouvelle sa petite citadine et sort une C3 III très contemporaine avec ses faux airs de SUV.
Des déclinaisons séduisantes
Citroën offre différentes déclinaisons de la C3. En 2003 est mise sur le marché la Pluriel. Son originalité ?
Elle peut aisément être transformée en spider ou en pick-up. Le constructeur a en effet misé sur une version décapotable. Mais cette C3 ne plaît pas, les manœuvres pour retirer les arches de toit étant trop fastidieuses. Sa production est arrêtée en 2010.
En 2004, Citroën pense aux amateurs de sport et lance la version XT-R. D’allure plus baroudeuse que ses consœurs, elle se distingue par un différentiel à glissement limité étonnant sur ce petit modèle.
La C3 Picasso est présentée en 2009. Version monospace de la C3 II, ce minispace propose un habitacle très fonctionnel et confortable et une allure massive qui ont tenu la concurrence – Nissan Note, Kia Venga ou encore Opel Meriva – à distance durant plusieurs années.
Des moteurs et des finitions
La C3 est actuellement proposée avec plusieurs motorisations. Dans le domaine diesel, on peut trouver deux moteurs : le BlueHDi 75ch, idéal pour la ville, et le BlueHDi 100ch, qui vous suivra sur tous les terrains. Citroën a travaillé trois motorisations essence. Le PureTech 68 ch, là encore adapté à la ville. Le 82ch est plus polyvalent mais encore limité et le 110ch, épaulé par un turbo, est plein de vigueur. Une version plus sport est également proposée avec la VTR.
Deux types de transmissions sont disponibles sur la C3. La boite de vitesses manuelle est à 5 rapports. La version automatique, la boite EAT6 à 6 rapports, est confortable à utiliser mais onéreuse.
La carrosserie fait indubitablement penser au châssis de la Peugeot 208 même si Citroën y appose sa patte avec des rondeurs subtiles. Le constructeur propose plusieurs finitions, de la basique Live sans ensemble audio à la très chic Shine avec sa régulation automatique de la climatisation ou le radar de stationnement arrière. La Feel se place entre les deux avec sa climatisation manuelle et ses rétroviseurs dégivrants.
N’oublions pas la possibilité de personnaliser la voiture avec par exemple un ensemble multimédia (jusqu’à 1400 euros) ou une caméra connectée (450 euros en moyenne).
Les Plus
L’habitabilité est un point fort sur ces modèles. Il en résulte un grand confort aussi bien pour les passagers avant qu’arrière. L’agrément de conduite est aussi une valeur sûre du constructeur et se retrouve quelle que soit la version de la C3.
Les Moins
Le coffre est réellement petit et ne vous permettra pas de déplacer des objets volumineux. La fiabilité, atout habituel de Citroën, n’est pas ici un point fort. Enfin, le moteur – versions de base principalement – est assez poussif.
En fin de semaine dernière, l’information est tombée et est venue secouer de plein fouet le monde du sport automobile. Non seulement, Citroën annonçait un choix très particulier en terme de programme, mais se séparait également de sa légende, Sébastien Loeb. Enquête.
C’est certainement l’un des mariages les plus célèbres du sport automobile moderne, à mettre au même niveau que celui qui liait Michael Schumacher et Ferrari en Formule 1. Toutes les bonnes choses ont malheureusement une fin : jeudi dernier, lors de la présentation officielle du futur programme en sport automobile de la marque aux chevrons, Citroën écartait officiellement Sébastien Loeb de ses plans. Définitivement ? Difficile à dire. En tout cas, l’on sait que Citroën ne sera pas présent en WRC sous l’appellation DS en 2016, qu’ils reviendront dans ce même championnat en 2017 avec une C3 WRC répondant aux réglementations 2017, et va surtout stopper son programme WTCC à la fin de la saison 2016 à la surprise générale… sans Sébastien Loeb, donc. Pourtant, le nonuple Champion du Monde des Rallyes n’était pas innocent dans l’arrivée de Citroën en WTCC, en 2014 : c’est même lui qui avait, fin 2012 et après avoir officiellement présenté ses souhaits d’arrêter sa carrière en rallye, proposé à Citroën de s’engager en Championnat du Monde de Supertourisme.
Des objectifs marketing non réalisés
En arrivant en 2014 en WTCC, Citroën a mis en route une implacable machine à gagner, à l’image de sa domination des années 2000 en WRC. La marque au chevrons écrase tout sur son passage dans ce Championnat où son seul réel concurrent s’appelle Honda, avec des moyens très limités qui plus est. Si Citroën a accepté de relever le challenge proposé par Loeb, il y avait une raison : la Chine. Le Championnat étant mondial, Citroën a souhaité profiter de la distribution en Asie afin de promouvoir sa C-Elysée, berline commercialisée là-bas. Sauf qu’à vaincre sans difficultés, on finit par triompher sans succès. Et les ventes de C-Elysée en Asie sont clairement en deçà de ce que les marketeurs de la marque imaginaient. Pas à la hauteur, du moins, de l’investissement financier, et ce malgré les deux titres de Champion du Monde de José-Maria Lopez, suivi de près par Yvan Muller. Sébastien Loeb, lui, ne gagne malheureusement pas, et c’est là que le bat blesse. Peut-être que Citroën pensait que Sébastien Loeb écraserait tout sur son passage comme il le faisait en WRC, afin de continuer à alimenter la légende.
L’échec de Sébastien Loeb et Citroën en WTCC
Cependant, peut-on réellement reprocher à un nonuple Champion du Monde des Rallyes de ne pas avoir réussi à battre 2 références que sont ses coéquipiers en WTCC ? Pas vraiment, d’autant plus qu’avec 6 victoires cette saison, Sébastien Loeb est très loin de rendre une copie vierge. La performance réalisée depuis 2014 par Loeb est même exemplaire, tant il a su s’adapter rapidement à sa nouvelle machine, même si ses performances restaient effectivement moindres par rapport à ses coéquipiers. Tout ça est même étrange, puisque les plans de départ voulaient que Loeb soit en lice pour le Championnat en 3 ans, soit… la saison prochaine. Évincé du programme WTCC, surement pas concerné par le développement de la C3 WRC, et encore moins par un éventuel retour aux affaires en 2017, on comprend alors que l’union magique entre Citroën et Loeb s’arrête ici. Loeb participera néanmoins au Championnat du Monde des Rallyes-Raid avec Peugeot, et notamment au Dakar, qui débutera le 2 janvier prochain. Un seul programme, donc, mais qui n’était surement pas la priorité de départ de Loeb, et de son copilote monégasque Daniel Elena. À moins que Loeb ne rebondisse en WTCC au sein du Sébastien Loeb Racing, sa propre structure engageant une Citroën C-Elysée ? Affaire à suivre.
Après les scandales du Dieselgate, les résultats des ventes de véhicules neufs sont parues, pour le troisième trimestre 2015. Si une branche de l’automobile arrive à résister, c’est bien l’automobile haut-de-gamme, doit les ventes ne cessent de croître.
Alors que cette fin d’année, marquée par les scandales autour du groupe Volkswagen AG, ont tendance à refroidir les consommateurs à acheter un véhicule neuf (et encore moins de la marque allemande), le secteur de l’automobile haut-de-gamme s’en tire, de manière étonnante, de la meilleure des manières. Bien illustré par les progressions enregistrées par Jeep, qui voit ses ventes progresser de plus de 13% depuis le début de l’année en Europe, le marche de l’automobile de luxe ne connaît pas la crise. Pourtant, l’automobile, en général, n’a pas connu sa meilleure année, les affaires du Dieselgate et le recul de vente des véhicules hybrides n’étant surement pas innocents dans tout ça.
L’automobile de luxe, la solution d’avenir ?
Les ventes d’automobiles haut-de-gamme se portent si bien par rapport aux ventes de véhicules traditionnels, qu’une question se pose : et si les constructeurs avaient tout intérêt à s’y consacrer ? Récemment, Hyundai a décidé de lancer sa marque Premium, Genesis, et à moindre mesure, Citroën a lancé DS, la branche destinée à produire de manière autonome ses modèles du même nom. Il est bien une dynamique que nous ne pouvons que valider : la crise financière ne fait que de creuser les disparités et, au même moment où l’automobile de tous les jours est freinée, l’automobile la moins accessible est, elle, sur le devant de la scène.
L’arrivée de Ferrari en bourse, une explication ?
Si il y a bien eu un événement dans le monde de l’automobile de luxe qui pourrait, éventuellement, avoir une incidence sur cette tendance, c’est l’arrivée en bourse de Ferrari. Nous vous en parlions il y a quelques semaines : la maison-mère de Ferrari, Fiat, espérait dégager près de 10 milliards de dollars de la mise en bourse de la marque. Alors, éventuellement, tout ça pourrait avoir un lien. En tout cas, nous aimerions bien avoir la possibilité de rouler au volant de cette dernière Hennessey Venom GT, plutôt qu’avec notre voiture de tous les jours !
En créant officielle la marque DS, Citroën se donne un but très précis : investir le marché du haut-de-gamme en proposant des véhicules d’une facture différentes que ses best-sellers. Que vaut cette nouvelle DS5? Nous l’avons testé pour vous.
En 2009, Citroën créée la sensation : la nouvelle DS, appelée DS3, va arriver sur le marché. Certes, rien à voir avec la mythique version, mais qu’importe : le nom de la légende est de retour. Très vite dans une gamme clairement haut-de-gamme, Citroën prend une décision étonnante en 2014 : elle va faire de DS une marque à part entière, et non juste une gamme. Depuis cette année, donc, tous les modèles de la gamme sont rebadgées avec le logo DS à la place des deux chevrons, le tout dans un emballage haut-de-gamme, largement de mise. La Citroën DS5 Nouvelle version est donc disponible, et nous avons pu en faire le tour pour vous en parler plus en détails!
Nouvelle DS5 : Dans la lignée de la marque
Visuellement, cette DS5 n’a rien de surprenant par rapport à ce qu’on pouvait en attendre : bouclier avant imposant, jantes en aluminium conséquentes, une double sortie d’échappements… Autant d’éléments qui nous font comprendre qu’ici, Citroën au travers de DS, a cherché à viser le haut du panier. Une voiture élégante donc, dont l’empattement et la longueur lui donnent des allures presque présidentielles. Au-delà de ce visuel léché qui vise clairement sa cible, la DS5 est très bien équipée et conserve le standing qu’on lui prêterait tout logiquement. Nombreuses technologies de série, sièges d’une qualité impressionnante, contrôles des angles morts : la DS5 est une voiture luxueuse, et son prix le justifie.
Un prix conséquent, mais justifié
Comme nous le révèlent nos confrères de piecesauto24.com, la nouvelle DS5 sera bientôt disponible dans une version sportive à près de 40 000 €, soit presque autant… qu’une Porche Cayman, tout de même! Pour la version de série, il vous faudra débourser la somme de 29 550 €, et 32 050 € pour la version ‘Be Chic’. Le modèle ‘Business’, quand à lui, est disponible à 31 700 €. En résumé, voilà une très bonne première approche réussie par Citroën avec sa nouvelle marque ‘Premium’, qui on l’espère, saura trouver sa clientèle. Ce n’est pas la première fois qu’un constructeur français tente de s’attaquer au marché haut-de-gamme (Renault et sa Velsatis), mais l’image péjorative dégagée par les constructeurs français était un trop gros frein. Quid de tout cela en 2015?
Après deux ans de présence en Chine, la griffe DS en profite pour dévoiler l’intérieur de son tout premier SUV : le Citroën DS6 WR, qui sera commercialisé d’ici fin Septembre 2014 en exclusivité sur le marché Chinois.
Citroën DS6 WR : Abondance de cuir
En Europe nous connaissons bien la DS5 et c’est tout naturellement que Citroën, la marque aux chevrons, reprend les grandes lignes de son tableau de bord pour la finition du Citroën DS6 WR, avec sa profusion de boutons et son écran tactile équipé du dispositif DSConnect qui prend place sur la console centrale. Une planche de bord longitudinale, ornée d’un traitement cuir couleur fauve lui confèrent un bel effet.
Le cuir… Justement, abonde dans l’habitacle du DS6 WR, en recouvrant totalement le bandeau haut de la planche de bord, une grande partie du volant, ainsi que les contre-portes et la console centrale. Les sièges sont bien évidement agrémentés de la sellerie type « bracelet de montre », l’une des grandes exclusivités de la ligne DS.
Le mobilier du DS6 WR n’est donc guère différent de celui de la DS5 LS, la berline spécialement conçue elle aussi pour la Chine.
Une conception classique
Derrière cette abondance de matériau noble, bien évidemment nécessaire pour un modèle qui se revendique Prémium, on remarque que l’architecture de l’habitacle n’en demeure pas moins extrêmement classique.
Le but étant de rassurer le client Chinois en évitant à tout prix les concepts de tableaux de bords trop avant-gardistes, comme nous les connaissons chez Peugeot et son «e-cockpit» sur la 308, la 208 ou la 2008.
Un SUV grand luxe mais sobre donc, qui sera réservé au marché Chinois et commercialisé à la rentrée prochaine. Le marché Européen n’est, pour l’instant, pas à l’ordre du jour.