Si la résiliation d’une assurance voiture est désormais beaucoup plus simple pour un assuré, il peut arriver que ce soit votre compagnie d’assurances qui choisisse de mettre fin au contrat. Cependant, l’assureur ne peut résilier un contrat que dans certains cas et à condition de respecter plusieurs modalités. Après la résiliation effective du contrat, l’assuré n’a que peu de recours pour trouver un nouveau contrat.
Les principaux motifs de résiliation d’assurance voiture
Tout comme la résiliation par l’assuré, la résiliation d’une assurance voiture par l’assureur doit être faite dans des conditions et des délais précis selon les situations. Quelle que soit la décision ayant justifié la résiliation du contrat, celle-ci devra vous être notifiée par un courrier en recommandé avec accusé de réception.
[cta id=’5496′]Résiliation à échéance du contrat d’assurance voiture
Dans ce cas, votre compagnie d’assurances n’a pas à justifier sa décision. Néanmoins, votre assureur devra vous notifier sa décision de résiliation en respectant un préavis de deux mois avant la date d’échéance de votre contrat.
En cas de non-paiement de la prime d’assurance
Qu’il s’agisse de la prime annuelle ou de cotisation mensuelle, la résiliation pour non-paiement doit se faire en suivant un calendrier précis :
- dans les 10 jours calendaires suivant la date d’échéance, il vous adresse une relance rappelant la somme due avec une date-limite de paiement, le plus souvent 30 jours calendaires maximum.
- en cas de non-règlement après la relance, l’assureur vous adresse une mise en demeure de règlement en recommandé avec accusé de réception. Cette mise en demeure inclue la somme due plus des pénalités de retard le plus souvent. La somme est à payer dans les 30 jours calendaires suivant la réception du courrier.
- si aucune solution ni aucun paiement n’a été effectué, il peut alors résilier votre contrat dans les 10 jours calendaires.
Votre contrat d’assurance voiture est alors résilié immédiatement. En revanche, les cotisations impayées (et les éventuels frais de relance) devront être réglées même après résiliation du contrat.
En cas de fausse déclaration ou omission d’information
La notification de résiliation de votre contrat d’assurance auto devra préciser les éléments considérés comme fausse déclaration ou omission. La résiliation du contrat sera effective dans les 10 jours calendaires suivant la notification par votre assureur. Si vous avez payé des cotisations correspondant à une période non-assurée, ces sommes vous seront remboursées dans un délai de 30 jours suivant la résiliation du contrat.
Afin d’éviter ce type de résiliation d’assurance voiture, il vous suffit de signaler tout changement dans votre situation (familiale ou professionnelle) à votre compagnie d’assurances. Il vous faudra également veiller à ce que toutes les informations données soient exactes, sans erreur ou élément manquant.
Résiliation pour aggravation du risque
Cette possibilité de résilier s’applique si vous déclarez un changement de situation à votre compagnie d’assurances et que ce changement a une incidence sur le risque couvert par votre contrat (une personne tierce qui conduit votre véhicule par exemple). L’assureur dispose alors de 10 jours calendaires suivant la notification du changement pour :
- refuser de couvrir le nouveau risque : la résiliation du contrat est effective dans les 10 jours calendaires après la notification du refus,
- vous proposer une augmentation de votre prime d’assurance. Vous avez alors la possibilité d’accepter ou de refuser cette augmentation.
A noter : Si la compagnie d’assurances perçoit une cotisation ou indemnise un sinistre après la notification du changement de situation, elle ne peut plus résilier le contrat au motif d’aggravation du risque.
Résiliation d’une assurance voiture après un sinistre
Ce cas de résiliation n’est possible que s’il est prévu dans le contrat d’assurance auto initial. Cette clause de résiliation peut être invoquée si :
- vous avez eu un accident en état d’ivresse et / ou sous stupéfiant,
- si vous êtes coupable d’une infraction au Code de la Route qui entraîne une suspension d’au moins un mois ou une annulation de votre permis de conduire.
La décision de résiliation est notifiée par courrier en recommandé avec accusé de réception. La résiliation sera effective dans les 30 jours calendaires suivant la notification. L’assureur devra ensuite vous rembourser le montant de la cotisation correspondant à la période restant jusqu’à la prochaine échéance.
A noter : Là encore, si une cotisation est prélevée ou s’il y a indemnisation après la notification du sinistre, elle ne peut plus résilier le contrat pour ce motif.
Les autres motifs de résiliation par l’assureur
D’autres motifs peuvent également amener votre assureur à notifier la résiliation d’un contrat d’assurance voiture. Il s’agit des situations où le contrat a été transmis à un autre assuré.
Décès de l’assuré
En cas de décès du souscripteur de l’assurance voiture, le contrat peut être transféré au nom de l’héritier du véhicule. Néanmoins, la compagnie d’assurances dispose d’un délai de 3 mois suivant la demande de transfert du contrat pour décider de sa résiliation.
Vente ou cession du véhicule
Si vous vendez ou cédez votre véhicule, il est possible de transférer le contrat d’assurance au nouveau propriétaire. Mais, là encore, l’assureur a la possibilité de résilier le contrat dans les 3 mois suivant la demande de transfert du contrat au nom de l’acheteur de la voiture.
Perte totale du véhicule
La résiliation par l’assureur est possible dans ce cas si la perte ou la destruction totale du véhicule résulte d’un événement ne faisant pas partie des risques couverts par le contrat d’assurance voiture. Après la résiliation du contrat, la compagnie d’assurances devra rembourser les éventuelles sommes trop-perçues.
Les recours après une résiliation par l’assureur
Il est souvent difficile de se réassurer après la résiliation d’un contrat d’assurance auto par l’assureur. De fait, l’assuré résilié n’a que deux possibilités :
- un courtier en assurances spécialisé dans les contrats pour assuré résilié (avec une prime d’assurance souvent plus chère),
- le Bureau National des Tarifications (procédure longue à refaire chaque année).
A noter : il est illégal de rouler avec un véhicule n’ayant aucune assurance. Vous devez au minimum avoir une assurance Responsabilité Civile pour circuler avec votre voiture.
Première achat ou renouvellement, le modèle hybride ou électrique offrent de nombreux avantages. Grâce aux aides de l’État, la voiture verte nouvelle génération suscite de plus en plus d’intérêt. Voici quelques conseils avant de vous lancer dans l’achat de votre nouveau véhicule.
Voiture hybride ou électrique : quel modèle vous convient le mieux ? L’e choix de votre véhicule va dépendre de votre usage au quotidien (ville, autoroute, campagne), du nombre de kilomètres parcourus et de votre budget final.
Modèle Hybride est une voiture essence ou diesel auquel est ajouté un moteur électrique ou une batterie de taille réduite. Le moteur essence fonctionne en permanence sauf à l’arrêt, lors d’un freinage ou lors d’une descente. Le système hybride permet le redémarrage instantané de votre véhicule. L’électricité permet de rouler plusieurs kilomètres en mode électrique. La voiture hybride ne se recharge pas via une prise mais lors des freinages et décélération.
Les avantages :
- Le système de coupure vous permet d’économiser de l’essence
- Voiture gagne en légèreté
- Mécanisme plus simple et moins couteux en cas de panne ou disfonctionnement
- Véhicules hybrides peuvent rester en dessous des 2 litres aux 100km (très économe)
- Idéale pour la ville
- Parfaite pour les vignettes : possibilité de rouler pendant les pics de pollution dans les grandes villes
Les inconvénients :
- Plus couteux et plus complexe qu’un moteur à combustion
- Pas de mode 100% électrique
- Fiabilité sur le long terme non établie
Modèle électrique ne contient pas de réservoir à carburant ni de moteur à combustion. Le moteur est 100% électrique avec une batterie de grande taille. Le rechargement s’effectue chez soi, ou par le biais d’une borne publique (station essence, supermarché, centre-ville…). Ce site vous permet de trouver la borne la plus proche de chez vous https://fr.chargemap.com/. La voiture électrique peut parcourir des centaines de kilomètres sans recharge.
Les avantages :
- Coût très attractif : prime de l’État pouvant aller jusqu’à 11 000€
- Peu d’entretien
- Aucune émission de CO2
- Confort d’utilisation : peu bruyante
Les inconvénients :
- Autonomie variant entre 150km à 200km
- Vente sans batterie
- Temps de charge complète est de 9 heures
En bref, la voiture électrique est idéale comme voiture d’appoint pour vos trajets urbains (petits trajets au quotidien). Si vous êtes un adepte des longs trajets optez pour la voiture hybride.
Il existe de nombreuses solutions et de nombreux services en ligne ou plus traditionnels pour vendre sa voiture. Le choix n’est pas forcément très facile et pourtant en structurant votre démarche, vous pourrez vendre votre voiture dans de bonnes conditions. Tout va dépendre de vos objectifs et de vos priorités. Certaines personnes préféreront privilégier la rapidité, d’autre la facilité et les derniers enfin se concentreront uniquement sur le prix de vente. Pour chacune de ces trois priorités, nous avons identifié trois solutions pour bien vendre votre voiture.
Mais avant d’en arriver à la vente, nous vous rappelons les bases pour bien vendre votre voiture au meilleur prix.
- Votre voiture doit être en bon état et avoir passé le contrôle technique.
- Votre voiture doit être propre à l’intérieur et à l’extérieur.
- Votre voiture doit être en règle avec une carte grise à votre nom et un certificat de non gage.
Si vous souhaitez vendre votre voiture très rapidement, plusieurs solutions s’offrent à vous. Le premier réflexe à avoir est de créer une petite annonce avec 3 photos minimum et un texte vendeur décrivant en détail votre voiture. Le site de petites annonces le plus efficace pour vendre votre voiture c’est Leboncoin.fr. Pour vendre rapidement votre voiture, proposez un prix attrayant un peu (5 à 10%) en dessous de la cote de votre voiture.
Vous pouvez aussi partager des photos de votre voiture sur les réseaux sociaux en mentionnant qu’elle est à vendre. Enfin, vous pouvez utiliser la place de marché Facebook ou un groupe dédié à la vente de voiture sur Facebook.
Si vous préférez la facilité, que vous ne souhaitez pas négocier et discuter le prix avec des inconnus et que vous ne souhaitez pas vous faire arnaquer, la meilleure solution est de faire appel à un professionnel et lui déléguer la vente de votre voiture. Il vous conseillera sur le prix et il prendra en charge la vente de A à Z. Une agence ayant pignon sur rue est bien sûr la meilleure solution. Par exemple si je souhaite vendre ma voiture j’utilise souvent Auto Easy.
Si vous souhaitez vendre votre voiture au meilleur prix, il faudra qu’elle soit dans un état irréprochable à jour de toutes ses révisions ou avec moins de kilomètres que les modèles équivalents. Offrir un service en plus comme la livraison à domicile ou des bons d’essence, peuvent aussi faire la différence.
Cette interrogation est assez fréquente lorsqu’il s’agit d’équiper sa voiture en hiver et pour cause : De nombreux véhicules sont désormais déclarés non-chainables. Mais qu’est-ce-que cela signifie? Est-ce que l’on peut quand même mettre des chaines ou chaussettes neige? Et sinon quel équipement hiver choisir? Nous avons donc fait le point dans cet article.
Un véhicule non chainable, qu’est ce que c’est?
De plus en plus de fabricant produisent des véhicules non chainables. Mais qu’est-ce que cela veut dire? Peut-on utiliser une chaine neige ou chaussette neige pour un véhicule non chainable?
Définition d’une voiture non chainable : Un véhicule est dit non chainable lorsque le passage de roue est trop étroit pour accueillir une chaine ou chaussette neige basique. Il se peut également que ce soit à cause de capteurs qui se trouvent à l’arrière du pneu pouvant gêner un chainage classique.
Définition d’une voiture à chainage particulier : Il existe également des véhicules qui ne sont pas « non-chainables » mais qui ont un chainage spécifique à respecter. Cela peut être pour plusieurs raisons : Le passage de roue, mais également par rapport aux poids de votre véhicule. Donc certaines voitures vont avoir, par exemple, un chainage spécifique de 7mm maximum à respecter. D’autres à l’inverse ne devront pas mettre des chaines aux maillons plus petits que du 12mm.
Toutes ces infos sur le chainage de votre voiture sont normalement indiquées dans le manuel constructeur. Sinon n’hésitez pas à contacter directement un professionnel comme Chainesbox.com afin de prendre la route en direction du ski ou de la montagne en toute sécurité, avec le bon équipement neige.
Des équipements neige pour voiture spécifiques :
Si votre voiture à un chainage spécifique de 7mm, vous trouverez par exemple les chaines neige XP7 de la marque Polaire qui seront compatibles. La dimension des maillons sera adaptée à votre auto et au passage de roue.
En revanche si votre véhicule est indiqué non chainable, vous pouvez choisir les chaines neige Polaire Steel Grip, chaine frontale qui ne prend que le devant du pneu. Ou pour un usage plus occasionnel, les chaussettes neige Musher. Ce sont les seules chaussettes neige sur le marché compatibles aux véhicules non chainables. Elles sont bien sûr homologuées B26 et sont également simples et pratiques à utiliser.
Lorsque vous souhaitez acquérir une voiture, vous cherchez souvent les bons plans. Pour certains modèles de véhicules, les prix sont moins élevés à l’étranger. La tentation est donc très grande et vous pensez à vous lancer dans l’importation d’un véhicule venant d’un autre pays. Mais gare aux mauvaises surprises, car cette démarche peut s’avérer compliquée si vous n’êtes pas correctement préparé. Découvrez dans cet article les principaux éléments à connaître avant de commander une voiture d’occasion dans un autre pays.
Importer une voiture en France, ce qu’il faut savoir
Il arrive que la voiture de vos rêves ne soit pas encore commercialisée en France ou que le modèle que vous souhaitez soit vendu à tarif plus abordable à l’étranger. Toutefois, notez que les véhicules à moteur tels que les automobiles, les motos ou les vélomoteurs qui sont importés en France ne peuvent être mis en circulation que s’ils sont conformes aux règles de sécurité du Code de la route.
Bien que l’importation d’une voiture d’occasion de l’étranger soit désormais plus simple, il y a des procédures à suivre. Pour les pays au sein de l’Union européenne, celles-ci sont plus faciles et plus rapides si vous respectez les conditions établies. Par exemple, pour un véhicule de 30 ans et plus, vous devrez vous tourner vers la FFVE pour obtenir une carte grise si vous n’en possédez pas.
Pour ne pas avoir à se préoccuper de ces procédures, de nombreux acheteurs préfèrent faire appel à un professionnel de l’automobile spécialisé. Sur le site https://mandataire-auto.com par exemple, les particuliers peuvent bénéficier d’une aide pour importer sans soucis une voiture de l’étranger. Cette plateforme web comprend notamment des articles et des vidéos apportant des explications sur les procédures à suivre, les astuces pour éviter les arnaques ou encore des guides pour trouver la voiture d’occasion qui vous correspond.
Importer un véhicule en France venant d’un pays de l’UE : la déclaration d’acquisition
Lorsque vous avez acheté une voiture d’occasion en Allemagne, en Belgique ou un autre pays de l’Union européenne, vous devez en premier lieu faire une déclaration au centre des impôts. Vous avez 15 jours maximum pour faire cette démarche auprès du service dont vous dépendez. Plusieurs documents vous seront demandés pour réaliser cette déclaration :
- Une carte d’identité valide au nom de la personne qui a acheté la voiture
- Un justificatif de domicile de moins de 3 mois en France (quittance de loyer ou facture d’électricité)
- Le certificat d’achat ou la facture de vente délivré(e) par le vendeur
- La carte grise ou son équivalent obtenu dans le pays d’achat du véhicule
Un certificat de non-gage peut être demandé par le service des impôts lorsque vous faites votre déclaration. De même, une traduction certifiée peut être requise dans le cas où la carte grise n’est pas rédigée en français.
Quid du quitus fiscal ?
À la suite de cette démarche, un « quitus de non-fiscalité » ou « quitus fiscal » vous sera fourni. Il s’agit d’un document qui atteste que la voiture est en situation régulière par rapport à la TVA. Ce document est obligatoire pour demander votre carte grise et immatriculer votre véhicule.
La demande du quitus fiscal devra être effectuée par le particulier s’il a réalisé le paiement de la voiture à l’étranger. Par contre, si c’est le mandataire automobile qui a payé le véhicule, ce doit être lui qui se chargera de cette formalité. En effet, dans ce deuxième cas, c’est le professionnel qui sera considéré comme l’importateur du véhicule. Cette remarque est très importante pour éviter les fausses déclarations et les poursuites qui peuvent être entamées.
Importer une voiture en France venant d’un pays hors de l’UE : se soumettre aux formalités douanières
Qu’elle soit neuve ou d’occasion, une voiture importée d’un pays hors de l’Union européenne devra s’acquitter de droits de douane. Ces frais représentent environ 10 % HT du prix d’achat du véhicule.
Lors de l’achat d’un véhicule, concernant la TVA elle n’est obligatoire que pour une voiture neuve, même si vous avez déjà payé une TVA dans son pays d’origine. En effet, seules les personnes ayant importé un véhicule neuf en France devront s’acquitter de la TVA de 20 % dans ce pays. Comme pour les voitures importées des pays de l’Union européenne, les véhicules d’occasion de plus de 6 mois ou ayant au compteur plus de 6000 km sont exonérés de cette taxe. Il est alors conseillé d’acheter un véhicule hors taxe pour éviter de faire le paiement de cette exigence fiscale deux fois.
Lorsque le dédouanement est achevé, plusieurs documents vous seront remis, à savoir :
- Un certificat de la déclaration de douane
- Un quitus fiscal ou quittance attestant du paiement des droits et taxes
- Un certificat n° 846 A qui sera à présenter auprès de la préfecture pour immatriculer le véhicule.
Afin d’être immatriculée en France, une voiture utilitaire achetée dans un pays hors de l’Union européenne sera soumise à un contrôle de réception à titre isolé. L’identification du véhicule, la vérification de son état général ainsi que l’examen de sa conformité aux normes seront réalisés par la DREAL (direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement).
Demande d’une carte grise en France
Pour pouvoir circuler librement en France, l’obtention d’une nouvelle carte grise est aussi indispensable. Cette démarche est à effectuer en ligne après avoir rassemblé les documents nécessaires pour votre dossier :
- Pièce d’identité et justificatif de domicile
- Contrat de vente du pays étranger
- La carte grise étrangère et le certificat de non-gage
- Le quitus fiscal
- Le résultat du contrôle technique de moins de 6 mois pour les voitures de plus de 4 ans
- Le certificat de conformité européen ou une attestation RTI obtenue auprès de la DRIRE
- La demande Cerfa de certification d’immatriculation dûment remplie et signée
Pour pouvoir rouler temporairement en France, la voiture doit avoir une immatriculation valide afin d’éviter une immobilisation par les forces de l’ordre. L’administration vous fournira une immatriculation provisoire WW jusqu’à ce que vous ayez effectué les démarches nécessaires. Cette immatriculation n’est valable que pour deux mois, renouvelables une seule fois.
Lorsque vous souhaitez acquérir une voiture, vous cherchez souvent les bons plans. Pour certains modèles de véhicules, les prix sont moins élevés à l’étranger. La tentation est donc très grande et vous pensez à vous lancer dans l’importation d’un véhicule venant d’un autre pays. Mais gare aux mauvaises surprises, car cette démarche peut s’avérer compliquée si vous n’êtes pas correctement préparé. Découvrez dans cet article les principaux éléments à connaître avant de commander une voiture d’occasion dans un autre pays.
Importer une voiture en France, ce qu’il faut savoir
Il arrive que la voiture de vos rêves ne soit pas encore commercialisée en France ou que le modèle que vous souhaitez soit vendu à tarif plus abordable à l’étranger. Toutefois, notez que les véhicules à moteur tels que les automobiles, les motos ou les vélomoteurs qui sont importés en France ne peuvent être mis en circulation que s’ils sont conformes aux règles de sécurité du Code de la route.
Bien que l’importation d’une voiture d’occasion de l’étranger soit désormais plus simple, il y a des procédures à suivre. Pour les pays au sein de l’Union européenne, celles-ci sont plus faciles et plus rapides si vous respectez les conditions établies. Par exemple, pour un véhicule de 30 ans et plus, vous devrez vous tourner vers la FFVE pour obtenir une carte grise si vous n’en possédez pas.
Pour ne pas avoir à se préoccuper de ces procédures, de nombreux acheteurs préfèrent faire appel à un professionnel de l’automobile spécialisé. Sur le site https://mandataire-auto.com par exemple, les particuliers peuvent bénéficier d’une aide pour importer sans soucis une voiture de l’étranger. Cette plateforme web comprend notamment des articles et des vidéos apportant des explications sur les procédures à suivre, les astuces pour éviter les arnaques ou encore des guides pour trouver la voiture d’occasion qui vous correspond.
Importer un véhicule en France venant d’un pays de l’UE : la déclaration d’acquisition
Lorsque vous avez acheté une voiture d’occasion en Allemagne, en Belgique ou un autre pays de l’Union européenne, vous devez en premier lieu faire une déclaration au centre des impôts. Vous avez 15 jours maximum pour faire cette démarche auprès du service dont vous dépendez. Plusieurs documents vous seront demandés pour réaliser cette déclaration :
- Une carte d’identité valide au nom de la personne qui a acheté la voiture
- Un justificatif de domicile de moins de 3 mois en France (quittance de loyer ou facture d’électricité)
- Le certificat d’achat ou la facture de vente délivré(e) par le vendeur
- La carte grise ou son équivalent obtenu dans le pays d’achat du véhicule
Un certificat de non-gage peut être demandé par le service des impôts lorsque vous faites votre déclaration. De même, une traduction certifiée peut être requise dans le cas où la carte grise n’est pas rédigée en français.
Quid du quitus fiscal ?
À la suite de cette démarche, un « quitus de non-fiscalité » ou « quitus fiscal » vous sera fourni. Il s’agit d’un document qui atteste que la voiture est en situation régulière par rapport à la TVA. Ce document est obligatoire pour demander votre carte grise et immatriculer votre véhicule.
La demande du quitus fiscal devra être effectuée par le particulier s’il a réalisé le paiement de la voiture à l’étranger. Par contre, si c’est le mandataire automobile qui a payé le véhicule, ce doit être lui qui se chargera de cette formalité. En effet, dans ce deuxième cas, c’est le professionnel qui sera considéré comme l’importateur du véhicule. Cette remarque est très importante pour éviter les fausses déclarations et les poursuites qui peuvent être entamées.
Importer une voiture en France venant d’un pays hors de l’UE : se soumettre aux formalités douanières
Qu’elle soit neuve ou d’occasion, une voiture importée d’un pays hors de l’Union européenne devra s’acquitter de droits de douane. Ces frais représentent environ 10 % HT du prix d’achat du véhicule.
Lors de l’achat d’un véhicule, concernant la TVA elle n’est obligatoire que pour une voiture neuve, même si vous avez déjà payé une TVA dans son pays d’origine. En effet, seules les personnes ayant importé un véhicule neuf en France devront s’acquitter de la TVA de 20 % dans ce pays. Comme pour les voitures importées des pays de l’Union européenne, les véhicules d’occasion de plus de 6 mois ou ayant au compteur plus de 6000 km sont exonérés de cette taxe. Il est alors conseillé d’acheter un véhicule hors taxe pour éviter de faire le paiement de cette exigence fiscale deux fois.
Lorsque le dédouanement est achevé, plusieurs documents vous seront remis, à savoir :
- Un certificat de la déclaration de douane
- Un quitus fiscal ou quittance attestant du paiement des droits et taxes
- Un certificat n° 846 A qui sera à présenter auprès de la préfecture pour immatriculer le véhicule.
Afin d’être immatriculée en France, une voiture utilitaire achetée dans un pays hors de l’Union européenne sera soumise à un contrôle de réception à titre isolé. L’identification du véhicule, la vérification de son état général ainsi que l’examen de sa conformité aux normes seront réalisés par la DREAL (direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement).
Demande d’une carte grise en France
Pour pouvoir circuler librement en France, l’obtention d’une nouvelle carte grise est aussi indispensable. Cette démarche est à effectuer en ligne après avoir rassemblé les documents nécessaires pour votre dossier :
- Pièce d’identité et justificatif de domicile
- Contrat de vente du pays étranger
- La carte grise étrangère et le certificat de non-gage
- Le quitus fiscal
- Le résultat du contrôle technique de moins de 6 mois pour les voitures de plus de 4 ans
- Le certificat de conformité européen ou une attestation RTI obtenue auprès de la DRIRE
- La demande Cerfa de certification d’immatriculation dûment remplie et signée
Pour pouvoir rouler temporairement en France, la voiture doit avoir une immatriculation valide afin d’éviter une immobilisation par les forces de l’ordre. L’administration vous fournira une immatriculation provisoire WW jusqu’à ce que vous ayez effectué les démarches nécessaires. Cette immatriculation n’est valable que pour deux mois, renouvelables une seule fois.
L’achat d’une voiture représente un véritable investissement, qu’il s’agisse d’un véhicule neuf ou d’occasion. Par ailleurs, peu de personnes peuvent acheter un véhicule en le payant en une seule fois lors de son achat. C’est pourquoi la majorité des gens a recours à un crédit pour l’acquisition d’une nouvelle voiture. Quels sont les différents types de financement auto ? Comment choisir son financement voiture ? Existe-t-il des alternatives ? Toutes nos réponses dans cet article.
Crédit auto neuve et occasion en ligne sur Trouve Ton Auto
Les principaux types de financement auto
Globalement, il existe deux grands types de crédit auto : le crédit affecté et le prêt personnel.
Le crédit voiture
Comme son nom l’indique, ce crédit est uniquement dédié à l’achat d’un véhicule. De ce fait, l’acheteur bénéficie de certaines garanties :
- le remboursement du crédit ne débute qu’à partir de la livraison de la voiture par le vendeur,
- si la vente du véhicule est annulée, le crédit est lui aussi suspendu.
- dans le cas où la demande de crédit serait refusée par l’organisme de prêt, l’achat de la voiture est annulé.
Le prêt personnel
Aussi appelé crédit à la consommation, il peut être utilisé au gré de l’emprunteur, sans être obligatoirement utilisé pour un financement auto. Ce type de crédit présente plusieurs avantages. Tout d’abord, ils sont souvent plus faciles à obtenir qu’un prêt auto et les conditions d’utilisation sont plus souples (aucune justification ne vous sera demandée). Néanmoins, l’emprunteur est beaucoup moins couvert que pour un crédit voiture. Par exemple, en cas d’annulation de la vente du véhicule, le crédit reste à rembourser.
Comment est calculé le montant du financement auto ?
Quel que soit l’organisme choisi, celui-ci va définir la capacité de remboursement de l’acheteur. Pour cela, il va étudier la situation personnelle de l’emprunteur mais aussi ses revenus. De façon générale, le montant du crédit doit être inférieur ou égal à 40 % des revenus annuels de l’emprunteur (idéalement 30 à 35 %).
A noter : Lors de l’achat d’un véhicule, l’acheteur dispose d’un droit de rétractation de 7 jours pour renoncer à son achat. Dans le cas où un acompte a été versé, le vendeur a ensuite 8 jours à compter de la date de rétractation pour le rembourser. De la même façon, un emprunteur dispose d’un délai de rétractation de 14 jours après la signature du prêt, à condition que le montant du crédit n’excède pas 75 000 euros.
Nos conseils pour obtenir un financement auto
Trois éléments sont à considérer pour demander un financement auto :
- l’apport personnel. S’il n’est pas obligatoire, il est fortement apprécié par les organismes prêteurs. En outre, il va contribuer à réduire le montant du crédit et donc sa durée et les intérêts.
- le taux d’intérêt. Le TEG (Taux Effectif Global) doit être soigneusement étudié lors de la demande d’un prêt auto. Il recouvre tous les frais liés au crédit : gestion du dossier, assurance de prêt, etc. De ce fait, il doit être compté avec le montant emprunté pour obtenir le coût global réel du crédit.
- comparer les offres. Il ne faut pas hésiter à consulter divers organismes de prêt (banque, concessionnaire, organisme spécialisé, …). En ayant plusieurs devis, il sera alors possible de faire jouer la concurrence et donc d’obtenir des réductions (notamment sur les frais de dossier) ou un taux d’intérêt plus intéressant.
Les alternatives au crédit pour le financement auto
Si vous ne pouvez pas obtenir de financement auto à crédit, deux alternatives sont à considérer : la LOA (Location avec Option d’Achat) ou la LLD (Location Longue Durée).
La Location avec Option d’Achat (LOA)
Connue aussi sous le nom de leasing, la Location avec Option d’Achat consiste au paiement mensuel (ou trimestriel) d’une somme prédéfinie pour la location d’un véhicule. La voiture louée est alors neuve et bénéficie de la garantie constructeur. Cette garantie constructeur couvre le plus souvent les frais d’entretien et certaines réparations du véhicule. Au terme du contrat de LOA, deux solutions sont possibles : la restitution du véhicule (avec nouveau contrat de leasing ou non) ou l’achat du véhicule à tarif préférentiel.
Si cette solution a de nombreux avantages, elle a un inconvénient majeur. Même acheté à tarif préférentiel, le véhicule revient souvent plus cher qu’en achat direct. En effet, le prix d’achat proposé en fin de contrat doit être additionné au montant des loyers déjà versés pendant la durée de la location pour avoir le coût global réel du véhicule.
La Location Longue Durée (LDD)
Comme son nom l’indique, la LDD consiste à louer un véhicule pour une période de 12 à 60 mois (48 mois en moyenne). Le montant du loyer mensuel est calculé selon la valeur à neuf du véhicule, la marque et le modèle du véhicule, la durée du contrat de location mais aussi une estimation du nombre de kilomètres parcourus pendant toute la durée du contrat. De façon générale, il est conseillé de ne pas dépasser 15 000 km pour un véhicule à essence et 25 000 km pour un diesel afin de ne pas avoir un loyer trop important. De plus, certains contrats de LDD peuvent inclure des services complémentaires tels que l’assurance auto, l’entretien du véhicule ou encore le prêt d’un véhicule en cas de panne.
Si vous n’êtes pas officiellement propriétaire du véhicule, la carte grise est à votre nom. De fait, vous restez responsable des éventuels dégâts et contraventions. A la fin du contrat de location, deux possibilités s’offrent à vous :
- la restitution du véhicule loué. Vous récupérez alors la caution versée lors de la signature du contrat de LDD. Vous pouvez également louer un nouveau modèle de voiture.
- l’achat d’un autre véhicule neuf ou d’occasion proposé par la société de location. Le prix du véhicule sera généralement plus avantageux.
Néanmoins, le principe de la Location Longue Durée a des inconvénients. Tout d’abord, à l’instar de la LOA, elle représente un surcoût comparé à l’acquisition classique d’un véhicule. Ensuite, la limitation du nombre de kilomètres qu’il est possible de parcourir pendant la location. En effet, les dépassements peuvent faire l’objet de pénalités assez importantes, augmentant encore le coût total de la location.
Crédit auto neuve et occasion en ligne sur Trouve Ton Auto
En France, 92% des ménages possèdent une voiture. Et même si les Français ont tendance à préférer acheter leur auto neuve, le prix reste le critère déterminant pour faire leur choix, même lorsqu’il s’agit d’acheter un véhicule premium. Qu’il s’agisse d’un premier achat, d’un renouvellement, ou de compléter leur « parc automobile », les acheteurs sont toujours vigilants sur le prix. A titre d’exemple, en recherchant un modèle automobile sur le moteur de recherche Google, les consommateurs y associent l’attribut « prix » 37 fois plus souvent que « motorisation » ! Et pour cause, en période de baisse du pouvoir d’achat, l’acquisition d’une voiture, et tous les frais annexes que cela engendre, sont un investissement que tout un chacun souhaite rentable. Concrétiser un projet d’achat automobile sans alourdir son budget est donc un vrai enjeu. Il existe bien des options pour contrôler ses dépenses tout en trouvant le modèle souhaité, à condition de sortir parfois des sentiers battus.
Peut-on encore faire des affaires en achetant neuf ?
Acquérir un modèle récent, qui bénéficie de la garantie constructeur, et limite les frais d’entretien dans un premier temps,… les avantages à l’acquisition d’un véhicule neuf sont certains ! Et dans la grande majorité des cas, le prix affiché par les marques automobiles est rarement le prix final. Il est en effet possible de bénéficier de rabais et de promotions lors d’opérations spéciales, pour acheter son véhicule neuf au meilleur prix. Sur les nouveaux modèles, il n’est pas rare de bénéficier de rabais allant jusqu’à 5% du prix constructeur, mais cela varie en fonction des marques et des modèles. Si la négociation est votre fort, vous pourriez même profiter d’une remise allant jusqu’à 20% ! Mais il est vrai que depuis la reprise du marché de l’automobile en France, la négociation est devenue bien plus délicate qu’auparavant.
Autre option pour acheter un véhicule neuf tout en profitant d’un budget allégé : l’occasion « 0 kilomètre » aussi appelée « occasion neuve ». Ces modèles d’exposition, déjà immatriculés, comptent moins de 100 kilomètres au compteur. Le plus souvent, les concessionnaires immatriculent des modèles afin de remplir les objectifs fixés par les constructeurs. On considère que ces modèles peuvent être vendus avec une remise de 25% sur le prix initial. Cependant, si le véhicule est neuf, il n’est pour autant pas considéré comme de première main, et la garantie constructeur est déduite du nombre de mois pendant lesquels il a été immatriculé.
Enfin, dans le cas d’un renouvellement, la reprise de l’ancien véhicule permet d’économiser 5 à 20% sur l’achat du nouveau véhicule. Même si les aides de l’Etat diminuent depuis cette année 2018, il reste intéressant financièrement d’acheter un modèle neuf, donc moins polluant, en faisant reprendre son ancien véhicule.
L’achat d’un véhicule neuf peut donc permettre de faire des économies par rapport au prix affiché, dans quelques cas précis. Pour cela, il vaut mieux être fin négociateur, ne pas être trop pressé et attendre les bonnes affaires ou miser sur une reprise de l’ancien véhicule.
La bonne option : l’occasion récente
Pour satisfaire son projet d’achat tout en maîtrisant son budget, et sans attendre les opérations de promotion, il peut être intéressant de se tourner vers les véhicules d’occasion récents. Il s’agit généralement de véhicules de moins de 12 mois, essentiellement revendus par des professionnels. Qu’il s’agisse d’entreprises privées ou d’administrations publiques, celles-ci renouvellent plus régulièrement leurs flottes automobiles que les particuliers, notamment pour éviter la décote à la revente. Les flottes de voitures commerciales ou de fonction présentent donc l’avantage d’être peu kilométrées et aussi bien entretenues. Souvent plus kilométrées, mais également très bien entretenues et récentes, les voitures mises en vente par les loueurs automobiles sont aussi très intéressantes à cibler.
Moins chère que le véhicule neuf, immédiatement disponible et bénéficiant encore de la garantie constructeur, l’occasion très récente est donc une bonne opportunité pour concrétiser son projet d’achat tout en respectant son budget.
Miser sur les ventes aux enchères automobiles pour trouver des occasions récentes
Si l’occasion récente s’avère être un bon moyen de réaliser des économies, le meilleur moyen de trouver des modèles d’occasions récentes en nombre est de se rendre à une vente aux enchères automobile. La majorité des véhicules que l’on y trouve proviennent en effet de flottes d’entreprises, et les modèles proposés sont divers et variés. Par Internet ou directement en salle des ventes, la vente aux enchères est ouverte à tous, professionnels et particuliers. Encore peu connues du grand public, les ventes aux enchères automobiles présentent pourtant de nombreux véhicules à vendre, pour tous les goûts et tous les budgets. Les entreprises ou administrations, renouvelant très régulièrement leurs flottes de voitures, cherchent à revendre leurs anciens modèles rapidement et les mises à prix lors des ventes aux enchères sont souvent intéressantes. De plus, il n’est pas rare, chez les leaders de la vente aux enchères automobile, de voir présenter plusieurs centaines de véhicules sur une journée, ce qui garantit un large choix à chaque vente.
Bien que d’occasion, les véhicules mis en vente aux enchères sont soumis à des contrôles rigoureux. Vérifiées lors d’un contrôle technique avant la vente, les voitures mises en vente sont testées et validées par un technicien automobile aguerri. La communication d’informations précises sur l’historique et l’état actuel du véhicule est également un critère déterminant dans la vente aux enchères. Le futur acheteur peut ainsi consulter l’historique d’entretien de chaque véhicule mis en vente, et tous les détails techniques le concernant. Avant chaque vente, les véhicules sont exposés et il est alors possible de les vérifier, à l’extérieur comme à l’intérieur. Le commissaire-priseur qui gère la vente annonce également tous les détails concernant le véhicule. Etant responsable des informations annoncées, il est tenu de respecter la plus grande objectivité et transparence.
Si vous tentez l’expérience de participer à une vente aux enchères pour la première fois, prenez le temps de vous renseigner sur les véhicules proposés en amont, et sur leur cote. Le jour de la vente, rendez-vous sur place assez tôt pour pouvoir inspecter les véhicules, à l’extérieur comme à l’intérieur. Enfin, avant de commencer à miser, fixez-vous une limite financière à ne pas dépasser. L’adrénaline ressentie lors d’une vente n’est pas à sous-estimer ! Et puis, pour maîtriser vos finances au plus juste, n’omettez pas les autres frais annexes à l’achat du véhicule : le montant de la carte grise, l’assurance, le carburant, les accessoires,… Là encore, acheter un véhicule neuf engendrera plus de frais que l’achat d’une occasion récente dans une vente aux enchères : il faudra en effet immatriculer le véhicule neuf et prévoir des frais pour la mise en route (préparation de la voiture et vérification des niveaux).
La vente aux enchères automobile est donc un moyen simple et ouvert à tous pour avoir accès à des véhicules d’occasion bien entretenus. En choisissant un acteur leader du marché de la vente aux enchères automobile, tel que VPauto, vous vous assurez de l’expertise d’un professionnel du secteur pour vous accompagner dans votre projet d’achat. L’occasion récente étant un bon compromis pour acquérir un nouveau véhicule tout en respectant son budget, n’hésitez plus à vous rendre à une vente aux enchères VPauto à Nantes, Lorient, Rouen, ou encore en ligne, pour trouver votre futur véhicule !
Mercredi 22 novembre 2017, Philip Hammond, actuel Ministre des Finances britannique, a annoncé les mesures prises concernant les voitures autonomes au Royaume-Uni. Lors du traditionnel discours d’automne présentant le budget du pays, le ministre a notamment donné des détails sur le budget prévu d’ici 2035 pour le développement de cette technologie.
Qu’est-ce qu’une voiture autonome ?
Autorisées à la circulation sur les voies publiques depuis 2015, les véhicules « semi-autonomes » sont déjà largement développés dans l’industrie automobile. En effet, est considéré comme semi-autonome tout véhicule disposant d’une aide à la conduite automatisée, quelle qu’elle soit. C’est-à-dire les systèmes tels que les régulateurs de vitesse, la détection de déviation de trajectoire, la direction, active, tous les types de détecteurs (de somnolence, de collision, etc.), l’assistance au freinage, …
L’OICA, l’Association Internationale des Constructeurs Automobiles, a établi une échelle de 6 points (allant de 0 à 5) pour définir le degré d’autonomie de ces véhicules. Ainsi, l’aide au stationnement se classe à l’échelon 2, l’action de se garer sans aucune intervention humaine se place à l’échelon 4. A l’échelon 5, dernier niveau d’évaluation, le « conducteur » n’aura plus qu’à énoncer une destination et à se laisser conduire par la voiture autonome, sans jamais intervenir dans la conduite du véhicule.
Les prévisions du Royaume-Uni pour les voitures autonomes
En annonçant dès maintenant des projets ambitieux pour l’avenir, le Royaume-Uni semble vouloir se positionner comme LE pays précurseur en Europe dans le domaine de la voiture autonome. Ainsi, il prévoit notamment de développer les camions autonomes pour une mise en circulation sur la voie publique à partir de la fin 2018. Avec, à terme, des véhicules totalement autonomes dès 2021 sur les routes britanniques.
Philip Hammond a donc annoncé les budgets alloués au développement des différentes technologies nécessaires à ce projet. Sur un budget global de 28 milliards de livres jusqu’en 2035 :
- 160 millions de livres sont destinées au déploiement de la 5G, une technologie jugée indispensable pour développer une voiture autonome à 100%,
- 75 millions de livres seront accordées pour le développement de l’Intelligence Artificielle,
- 400 millions de livres iront aux entreprises œuvrant à installer de nouvelles bornes de recharge pour voitures électriques dans tout le pays,
- Enfin, des aides sont prévues pour les particuliers souhaitant acquérir un véhicule électrique.
La France et les voitures autonomes
Egalement en expérimentation depuis 2015, la France envisage une mise en circulation des voitures autonomes sur la voie publique pour 2020. Il semblerait néanmoins que les conducteurs français ne soient pas encore prêts pour cette nouvelle technologie. Une étude, réalisée au mois d’août par Opinion Way, révèle que 56 % se déclarent prêts à faire confiance à un véhicule 100 % autonome. Du côté des récalcitrants, 41 % d’entre eux déclarent ne pas être prêts à renoncer au plaisir de conduire. De plus, 45 % expliquent avoir peu confiance en ces véhicules et craindre un accident. Une crainte qui n’est pas tout à fait fondée puisque, si 90 % des accidents de la route sont liés à une erreur humaine, les voitures autonomes pourraient permettre une réduction de 30 % du nombre d’accidents de la route.
Le prestige est la qualité de ce qui impose le respect, de par l’admiration naturelle qu’il suscite. Ce terme a donc pleinement sa place dans le monde de l’automobile. On l’associe souvent à Ferrari, Porsche, Rolls-Royce, ou encore Bentley, pour ne citer qu’eux. Ces marques font rêver, et leurs créations sont désirées. Mais pour trouver la perle rare, surtout à un tarif un cran en dessous de la stratosphère, il faut savoir fouiller au bon endroit. Dans ces conditions, la vente de véhicules de prestige d’occasion sur internet trouve tout son sens, car bien que certains aient le luxe de s’offrir un modèle de choix, le rêve est permis pour tout un chacun. Les prix des modèles rares atteignant tout de même les hautes sphères.
“Le marché de l’occasion dans le domaine du luxe est très prolifique”
L’avantage de la recherche sur internet, c’est qu’elle offre en un seul clic, un accès à un riche catalogue. Le marché de l’occasion dans le domaine du luxe y est très prolifique. Les sites spécialisés dans le prestige offrent une large palette de choix, allant même jusqu’à importer des modèles. C’est le cas de Annonce-privee.com.
Un prestige présent dans plusieurs catégories
Un client peut donc trouver son bonheur s’il cherche une berline de luxe, telle qu’une Bentley Continental GT à moins de 126 000 €. Toujours dans la même catégorie, il pourra être comblé avec une Audi RS7 V8 560cv, à moins de 78 000 €. Les Supercar sont aussi très bien représentées, puisqu’on y retrouve des Lamborgini Gallardo, Porsche 718 Boxter ou
encore Ferrari Testarossa. En plus des catégories citées précédemment, présentes sur le marché de l’occasion de luxe, ajoutons aussi les SUV. Mais les passionnés de véhicules de prestige de collection ne sont pas en reste. Ils pourront même trouver sur leur chemin des modèles dits, “de légende”. C’est notamment le cas de la Ford AC Cobra 427. Bien que sa production fut arrêtée en 1966, on en retrouve encore aujourd’hui des exemplaires dans un état irréprochable. De même pour la Triumph TRA, arrêtée quant à elle, en 1962.
Un entretien souvent à la hauteur de ce prestige
Que l’on se tourne vers une Audi Q5 ou une Artega GT, le nombre de kilomètres affichés au compteur ne doit pas être notre principal critère. En investissant dans un modèle neuf de ce standing, l’acheteur a déjà bien souvent pensé à la revente, avant même de signer un quelconque contrat d’acquisition. On peut donc avoir la certitude que ces propriétaires se soient bien occupés de leur petit bijou, tant au niveau mécanique qu’esthétique. Les professionnels mettant en vente ces modèles de luxe d’occasion sur internet précisent souvent que le carnet d’entretien est disponible. A défaut, un dossier de factures est remis à la livraison. Ajoutons à cela une garantie fournie par le vendeur. Sur ces points, là encore, on se rend bien compte que ces véhicules de prestige ont bel et bien acquis un certain respect, de par l’admiration naturelle qu’ils suscitent.
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